Ah, mon Soup Maker, c’est une grande histoire lui et moi. Car je suis une mangeuse de soupe voyez-vous, je ne commence pas un dîner à la maison sans mon grand bol de douceur parfumée. Je faisais déjà des soupes avant le Soup Maker bien sûr mais c’est tout un tintouin tout de même, il y a de la vaisselle, des étapes successives, et la tentation est grande d’en faire des quantités qui vont feront le bol triste le quatrième jour lorsque la même soupe arrivera encore sur la table, l’oxydation en prime.

Le Soup Maker a changé ma vie, il est pratique, se lave facilement, fait quasiment tout tout seul (je l’aide un peu, par amour) en un temps record, a la bonne contenance pour varier souvent les plaisirs et ses veloutés sont incomparables, à mon avis nettement supérieurs à ceux que je réalisais en cocotte. Je rentre le soir du travail, je jette les légumes dans son bol, j’ajoute l’eau, les épices, les noix, ce qui me passe par la tête et je pars prendre tranquillement mon bain pendant qu’il cuit, mouline, veloute et embaume l’appartement. Un petit bip-bip joyeux m’informe qu’il est temps de se mettre à table 23 minutes plus tard mais si je suis occupée, il garde ma soupe au chaud avec tendresse. Bref, il me bichonne !

Toutes mes recettes de soupe seront donc fabriquées au Soup Maker mais si vous n’en avez pas et qu’elles vous font envie, rien ne vous empêche de procéder de manière traditionnelle. Pour aujourd’hui, j’ai recyclé le coeur, la tête et les tiges d’un chou romanesco dont j’avais utilisé les fleurettes pour ma recette https://cvegetal.com/2014/11/29/wok-de-riz-cremeux-aux-shitakes-et-aux-fleurs-de-chou-romanesco/. Avec une poignée de noix ça devrait être parfait !

Placez dans le bol les morceaux de chou, un oignon moyen coupé en morceaux, une poignée de noix, une càc de sel et poivrez

Remplissez d’’eau jusqu’’au niveau maximum et laissez cuire en fonction velouté